Sur l'initiative du Père Gasparotto, Curé de Terraube, Alain Leclère construit un orgue neuf , synthèse des divers styles de l'Europe Baroque, Frédéric Muñoz y adapte un programme mêttant en valeur les possibilités de cet orgue qui reste le chef-d'œuvre de ce facteur trop tôt disparu. Frédéric Muñoz signe ici son tout premier enregistrement.
voir ici la présentation de l'album => https://www.youtube.com/watch?v=LKd4W5uZBoI
Les cloches de l'église de Terraube :
J. P. Sweelinck : Toccata en La mineur
G. Scronx : Fantaisie Echo
Anonyme Anglais (XVIiémes) : My Lady carey's Dompe
A. Valente : La Romanesca e Lo Ballo dell Intorcia
G. Frescobaldi : Toccata quarta per l'Elevatione
B. Pasquini : Aria sopra "la Folia de Espagna"
L. Couperin : Passacaille en sol mineur
A. de Cabezon : Tiento "Dic Nobis Maria", Pavana y su glosa, Magnificat de quarto tono (7 versets)
F. Correa de Arauxo : Canto llano de la Inmaculada Concepcion
J. Cabanilles : Corrente Italiana, Tiento de falsas 1ertono
OrgueAlain Leclère de Terraube (Gers) - Disque XCP 5002 Enregistré en Septembre 1987 Existe en CD et K7 audio
CRITIQUES :
- "La densité et parfois même le frénésie des textes, surtout Espagnols sont chez Frédéric Muñoz de toute beauté." (Michel Roubinet 5 Diapasons)
- "Frédéric Muñoz a justement réuni ici des compositeurs du XVIIiéme siècle qu 'il interprète avec un grand talent." (Cl. Noisette de Crauzat 4 Compact)
- "Frédéric Muñoz a compris quel magnifique orgue il avait entre les mains et l'utilise avec amour." (Jacques Bonnaure 8 de Répertoire)
- "Frédéric Muñoz joue ces œuvres avec un très grand sens de la couleur et de l'architecture. Voilà un musicien qui sait communiquer par sa science technique une sensibilité et une intelligence : un disque superbe."(Bernard Faguet : Revue l'Audiophile)
- "Vos interprétations sont toujours animées d'une sève authentique et bien vivante, un régal. Ces musiques telles que vous les jouez parlent à notre coeur et le touchent par delàles siècles, parce que vous savez leur redonner toute leur vie et leur lustre de jadis, loin des restitutions "musicologiques sans expression, ni âme." (Mme Marie-Bernadette Dufourcet-Hakim.)